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Tournée Diplomatique du Président du BIECE-AE au Gabon

Le Président du BIECE-AE, Monsieur LANGUEH Kokou Nouwozan en tournée diplomatique au Gabon .

Il a rencontré  plusieurs personnalités du pays dans la capitale gabonaise. Les discussions ont particulièrement porté sur l’intention de l’organisme canadien à accompagner plusieurs pas africains à prendre la voie du mix énergétique ( l’énergie verte ou solaire). Plusieurs pays africains comme l’Éthiopie, le Maroc etc. l’ont amorcé.

Bureau de Représentation du BIECE-AE au Togo

 

Fevrier 2025 : Monsieur Edem Kossi AGBOGBO a été nommé Chef de Mission du BIECE-AE / Togo. Il incarne depuis ce jour un leadership éthique et stratégique à la tête de l’organisme au Togo . Nous lui souhaitons un plein succès dans sa mission qu’est de redonner un Nouveau Visage à la Coopération Internationale.

 

Audience avec le Ministre des Affaires Étrangères Chargé de l’Intégration sous-régionale et des Gabonais de l’Étranger du Gabon

En marge de la Présidentielle d’Avril 2025 au Gabon, le Président Directeur General du BIECE-AE /Canada , Monsieur LANGUEH Kokou Nouwozan et le Chef de Mission du BIECE-AE /Togo ( Monsieur AGOGBO Kossi Edem )  ont été reçus en audience par le Ministre des Affaires Etrangères Chargé de l’Intégration sous-régionale et des Gabonais de l’Etranger, Son Excellence Monsieur Regis Michel ONANGA M. NDIAYE. 

Mission Internationale d’Observation Électorale (MIOE) en Côte d’Ivoire

Mission Internationale d’Observation Électorale (MIOE) en Côte d’Ivoire

La Mission Internationale d’Observation Électorale (MIOE) de BIECE-AE a répondu au rendez-vous électorale du 25 Octobre 2025 lors de la Présidentielle tenue en Côte d’Ivoire. La délégation a été conduite par Son Président, Chef de la Mission , Monsieur LANGUEH Kokou Nouwozan. Une trentaine d’observateurs internationaux ont pris part à ce grand rendez-vous de la démocratie en Afrique.

Avec BIECE-AE, c’est le Nouveau Visage de la Coopération Internationale.

Nigeria : Tinubu annonce un budget de 34 milliards de dollars pour 2024

Le Nigeria prévoit de dépenser 34 milliards de dollars pour le budget 2024 et se basera sur un prix du pétrole de 73,96 dollars pour ses dépenses à un taux de change de 700 nairas pour un dollar, a déclaré lundi son ministre du Budget.

Le Conseil exécutif fédéral a approuvé lundi le budget pour l’année 2024, qui est près d’un cinquième plus élevé en nairas que le budget 2023.

S’adressant à la presse locale lundi, Atiku Bagudu, le ministre nigérien du budget et de la planification nationale a indiqué que cette enveloppe devrait permettre une croissance de 3,7 % en 2024, un chiffre supérieur aux 2,9 % prévus par le Fonds monétaire international.

Toujours dans le cadre du plan de dépenses de 2024, le Nigeria s’est donné comme objectif de produire 1,7 million de barils de pétrole par jour, ce qui représente une augmentation de 31 % par rapport aux niveaux de production actuels

Comme annoncé par le ministre du budget, le gouvernement mettra de côté 10,8 milliards de dollars pour le service de la dette.

Quant à l’inflation qui est actuellement de 27,7 %, son plus haut niveau depuis 20 ans, elle devrait se modérer à 21 % l’année prochaine, a précisé le ministre nigérien du budget et de la planification national.

“La Ceinture et la Route” : au Kenya, la dette auprès de la Chine inquiète

Cette semaine, la Chine a accueilli les représentants de 130 pays pour un forum sur les Nouvelles routes de la soie, un ambitieux projet d’infrastructures lancé par Xi Jinping il y a 10 ans. Le président kényan William Ruto participait à ce rendez-vous diplomatique. Son pays, lourdement endetté auprès de Pékin, envisage malgré tout de lui demander un prêt de 1 milliard de dollars.

“La monnaie kényane perd de sa valeur. Aujourd’hui, notre principal créancier est la Chine et, par conséquent, nous payons le prix fort et la majeure partie de nos revenus sert en fait à rembourser les prêts chinois, ce qui ne pourra pas durer”, explique Karuti Kanyinga, professeur de recherche à l’Institut d’études sur le développement de l’université de Nairobi.

Le Kenya a accumulé plus de 68 milliards de dettes auprès notamment de ses principaux créanciers. D’abord la Banque Mondiale, puis la Chine. Pékin a par exemple prêté 5 milliards de dollars à Nairobi pour la construction d’une ligne de train. C’est le projet d’infrastructure le plus cher du pays depuis son indépendance en 1963.

“La Chine ne prête pas attention aux questions de bonne gouvernance. Elle ne se préoccupe pas non plus de la corruption lorsqu’elle met en place des infrastructures et des projets en Afrique. C’est ce qui est le plus inquiétant dans la mesure où de nombreux pays ont vu des routes ou des infrastructures, voire de l’énergie, des installations portuaires dont le coût de construction laisse beaucoup à désirer”, poursuit.

La Chine rejette les critiques qui l’accusent de plonger certains pays africains dans le surendettement avec ses prêts colossaux. Lors d’une visite à Nairobi en juillet, le ministre des Affaires Etrangères chinois a vanté un partenariat gagnant-gagnant avec le Kenya.